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Côte d'alerte pour l'avenir du Bassin Livre deux.
27 septembre 2011

page 50 andernos

 

valeur. Tout le monde avait peur, mais les ouvriers craignaient plus encore les chefs de services, qui avec un zèle machiavélique enfonçaient les ouvriers. A la moindre erreur il y avait des remontrances publiques. Un ouvrier n’était rien, seuls les responsables syndicaux étaient un peu plus considérés et le directoire s’en méfiait, car ils détenaient le pouvoir des arrêts de travail.

Alors ces vacances à Andernos me faisaient du bien, j’oubliais les inimitiés, les coups bas, les jalousies, la crainte de voir les machines offsets arrêtées par la cause d'une distraction etc. Mon ressentiment et mon stress diminuaient au fil des jours, pour revenir insidieusement lors des derniers moments proches de la rentrée...

 

Aujourd’hui, avec le recul que donne les années, voici le monde tel que je le vois avec des ‘si j’étais’… Mais c’est une vision de poète… Mais le poète a des sensibilités proches de ce qui pourrait être meilleur…

 

Si j’étais un chef de service, je valoriserai la bonne volonté de mes subordonnés. Je cautionnerai leurs initiatives. Une production ne peut se réaliser que dans un climat de confiance. Je ne chercherai pas à les brimer pour les erreurs qu’ils auraient commises. Je les encouragerai pour le travail qu’ils feraient car je saurai qu’ils s’en acquitteraient de leur mieux.

 

 Si j’étais un élu dans la territorialité, je travaillerai dur pour bien comprendre les rouages des différents services et j’honorerai tous mes rendez-vous de permanence. Je serai

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