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Parmi les émotions qui nous étreignaient autrefois, lorsque la quatre chevaux de mon oncle, arrivant d’Arès prenait l’Avenue de la République, celle de voir la mer au travers des rues menant à la plage nous enchantait. Nous savions qu’elle était haute et qu’à peine arrivés dans la villa, nous enfilerions nos maillots pour plonger dans l’onde délicieuse du mois de juillet. Ce kaléidoscope bleu azur qui nous apparaissait en pointillé au fond de chaque voie latérale, était un gage des belles vacances à venir.

On arrêtait aussi le véhicule à la hauteur de la maison de Monsieur de Chorivit, qui fait un angle avec la plage. Une avenue à Andernos porte son nom. Il me souvient d’avoir eu une belle angine chez ma grand-mère durant les mois d’été. Un docteur du nom de ce Monsieur était venu me soigner. Aujourd’hui le splendide parc semble partagé en deux… Une vierge orne encore l’un des côtés de cette belle bâtisse.

La Maison de la famille De Chorivit. est située sur la droite du cliché. Ici : Plage  d’Andernos près du port du Bétey