28 septembre 2011
page 38 andernos
Ô mon Bassin... Ton eau désormais turbide, ne m’incite guère à tremper mes pieds, Car je ne les vois plus, mes petits petons et il me faut me méfier, De cette perfide vase fluide qui déchausse ce bon varech, Et se répand partout, colique insidieuse dont...